Nom : Grawl

Prénom : Suzie

Âge : 17 ans et des poussières

Date de naissance : 12 avril 2983

Orientation sexuelle : bisexuelle à tendance hétéro

Groupe sanguin : AB-

Rang : Normale

Description du personnage.

Physique :
La caractéristique la plus marquante est sans nul doute la couleur de ses iris : brun violacé. En plus d'être d'un ton assez original, ils captent souvent l'attention puisque Suzie possède deux grands yeux qui trahissent la présence d'une tempête faisant continuellement rage sous son crâne... Mais ce n'est pas le moment de parler de cela. Poursuivons avec son visage assez rond, encadré en théorie par de courts cheveux châtains. En pratique, ces derniers sont plutôt relevés en arrière par un casque, quelques mèches rebelles subsistent tout de même sur son front. Son expression habituelle est pareille à une profonde réflexion : ses fins sourcils légèrement froncés, sa lèvre inférieure mordue et le regard perdu dans le vague. Néanmoins celle-ci change souvent, Suzie laissant paraître assez facilement ses émotions. Elle possède une silhouette gracieuse d'un peu moins d'un mètre soixante-dix. Seules ses mains et ses muscles fins témoignent d'une activité physique régulière. Enfin, surtout ses mains, ses bras et ses jambes sont très souvent couverts car elle oublie la chaleur qui règne continuellement depuis la 3ème Guerre pour sa propre sécurité... mais qu'est ce qu'un morceau de tissu face à un contaminé ? Rien qu'une foutue habitude prise de l'époque où ses parents n'avaient pas disparu. Au niveau de son look général il n'y a qu'une manière de le décrire : définitivement rétro de la période début XXI ème siècle à laquelle elle attache une importance toute particulière car elle représente le seul élément de comparaison existant avec la situation actuelle... tout en étant plus gai.

Mental :
Il est rare de ne pas savoir ce qu'elle pense : soit elle le montre, soit elle le dit... si ce n'est pas les deux à la fois. A devoir survivre et éviter de se faire contaminer, on aurait pu croire que Suzie aurait un mental d'acier, qu'elle serait inflexible et distante, ce qui n'est absolument pas le cas. Si elle supporte la vue du sang facilement, presque normalement, les corps amoncelés et ne serait-ce qu'entre-apercevoir des organes humains, cela a tendance à lui donner des hauts-le-coeur irrépressibles. Malgré ce "détail", elle est capable de tuer sans réfléchir tout contaminé qu'elle voit : un sentiment de vengeance la rongeant de l'intérieur, un sentiment qu'elle peine à refouler et qu'elle aimerait voir disparaître. Nous sommes tout de même loin de sa peur chronique du noir : elle tremble, pleure, s'agite... incapable de rester en place sans exploser lorsque celui-ci se referme sur elle comme un prédateur sur sa proie.
De manière prépondérante, elle a continuellement la désagréable impression de s'inventer des sentiments, et de cultiver à tout prix sa différence... seules choses la rattachant aux autres et à ce monde. Elle aura donc tendance à rechercher la compagnie tout en essayant que celle-ci se dévoile puisque l'absence de réaction de la part des autres l'enfonce dans l'abîme dont elle essaie de sortir. Quitte à énerver, tout mieux que d'être ignorée. Y penser la répugne profondément mais en même temps elle n'arrive pas à s'en détacher : esprit de contradiction avec peu d'égaux, au point qu'elle sauterait presque dans le vide si on lui intimait l'ordre de ne pas le faire. Hormis ces quelques... particularités... Suzie est quelqu'un sur qui on peut compter, et qui n'attend jamais rien en retour, trop consciente que dépendre essentiellement des autres est source de problème. Dernière chose, ce n'est pas qu'elle n'aime pas les Wrists, mais elle éprouve une certaine rancoeur vis-à-vis d'eux, de leur mission à cause d'une mauvaise expérience vécue avec certains de leurs représentants.

Goûts :
Difficile de définir réellement ses goûts : d'un côté Suzie pense préférer les gens calmes et modérés, d'un autre elle pourrait s'entendre avec n'importe qui. Il n'y a pas de modèle prédéfini dans sa tête, par rapport à certains parlant d'une femme, petite, brune aux yeux marrons ou d'autres d'un homme grand, musclé, surexcité, elle n'en sait absolument rien et s'en contrefiche. Dès que le temps lui en laisse l'occasion, elle écoute de la musique, principalement des chansons énergiques reposant sur la mélodie plus que sur les paroles. On a déjà abordé sa passion pour le XXI ème siècle, et sa hantise du noir qui va jusqu'à détester cette couleur. S'il fallait arbitrairement en donner une qu'elle apprécierait particulièrement, sa réponse serait très certainement vert... vert émeraude... Il est en effet, peu évident pour Suzie de savoir faire la différence entre ce qu'elle s'auto-oblige à penser, faire, agir et ce qui est impulsif. Ses "choix" ne lui apparaissent pas comme tels et à ce titre elle les considère comme fait pour entrer dans un moule de "normalité". En résumé ce qu'elle aime, elle le déteste, retour à son esprit de contradiction.


2980. Rencontre furtive de deux êtres aux hasards d'un détour, regard réciproque échangé, besoin insurmontable de revoir l'autre. Ainsi débuta l'amour mutuel que se portait un homme et une femme parmi tant d'autres. Tout en grâce et en douceur, une combinaison gagnante pour une enfance qui se promettait d'être heureuse. Un banal jour d'avril 2083, de ceux qui seraient tombés dans l'oubli s'il n'avait pas été particulier pour trois êtres... Le ciel tout endimanché dans son manteau gris miteux pleurait et pleurait encore, déversant ses larmes de bonheur le long des rues, sur les toits, des décombres et les quelques badauds s'étant attardés au dehors. Dans cette ambiance où la lumière réparatrice laisse place à l'eau purificatrice, Suzie naquit. Petit être sans défense dont la conception du monde est immaculée, seule parmi tant d'autres telle ses parents avant elle.
S'en suivirent quelques années hors du temps, où le cocon savourait la concrétisation de son existence. Peut-être étaient-ils un peu trop coupés de la réalité, ou encore vivaient-ils trop au jour le jour... dans certains cas chercher les causes devient inutile, la conséquence se suffisant à elle-même.
Vers dix-neuf heures ce soir là, M. Grawl franchit la porte de son logis, il rentrait chez lui. Un sourire commençait à se dessiner sur ses lèvres, ravivé quelques instants plus tard pa la vue de sa femme. Il la serra dans ses bras, elle lui répondit par un bonsoir murmuré au creux de l'oreille. C'est cet instant que choisit sa fillette de six ans pour apparaître dans l'embrasure d'une porte. Lorsqu'elle l'aperçut, elle lui sauta au cou tandis que la néo-télévision diffusait en guise de fond sonore les dernières informations. "Recrudescence des cas", "Débordés", "Engagez vous" et autant à propos de morts et de disparus. Un cri horrifié supplanta en volume le journal télévisuel. Un cri dont l'atrocité reléguait les faits décrits à un rang secondaire tant il exprimait une douleur et une monstruosité palpables. Il fut rapidement suivit de dizaine d'autres et rejoint par des hurlements gutturaux inhumains.

- "Va te cacher mon coeur." souffla Mme Grawl à Suzie.

D'un pas lent, la figure figée dans une expression d'étonnement extrême mêlé à une angoisse certaine, elle s'approcha de la fenêtre. Ce qu'elle y vit, le nez et les mains collés au verre, la crispa d'avantage. Ils l'avaient tant redouté et c'était finalement arrivé... les contaminés venaient se nourrir. SOudain la porte explosa. Elle n'eut que le temps de voir le corps de son mari projeté violemment sur le mur du fond avant que ces monstres soient sur elle. Suzie, tapie au fond d'une armoire, frissonnait de tout son être. Pourquoi devait elle se mettre à l'abri ? Pourquoi est ce qu'on ne lui expliquait rien ? Un bruit sourd la ramena à la réalité. Elle respirait maintenant avec difficulté, ce son étrange avait exacerbé son stress. Des pas... un repas... voilà ce qu'elle distinguait dans le silence pesant qui venait de s'abattre. L'ambiance était comparable à celle d'une région dans l'oeil d'un cyclone : la tempête, le calme pour à nouveau la tempête. Les sens aux aguets, le coeur battant la chamade à lui exploser la poitrine, elle détecta sans mal la présence tout près d'elle. Cette dernière hésitait, s'avançait, tournait en rond, revenait, toujours plus proche. Fébrile, Suzie entrebâilla le seul rempart entre elle et son probable bourreau pour y glisser un oeil. Elle voulait savoir. Elle sut. Le dos, situé à quelques mètres à peine d'elle, était légèrement courbé, comme croulant sous le poids du virus. Des lambeaux de vêtements pendaient misérablement sur un corps décharné mais une carrure puissante démentait cette première impression de faiblesse. La main devant la bouche pour s'éviter de hurler, elle sentit ses joues se mouiller imperceptiblement et sa vue se brouiller. Détonation inopinée. La créature s'effondra dans un bruit mou tel une poupée de chiffon s'écrasant sur un sol en pierre. Toujours sanglotante, Suzie recula silencieusement contre la paroi de l'armoire.

- "Heureusement il n'en restait qu'un."
- "Comme tu dis, t'imagines si on avait du tous se les faire ?"
- "M'en parle pas, on y serait resté c'est sûr."
- "Dommage pour ce couple, mais j'ai pas vu d'enfant donc ça va."
- "Me dis pas que tu t'en voudrais ?"

Celui qui venait de s'exprimer, se mit à rire doucement.

- "Arrête de raconter des conneries, on s'en va."

Ils descendirent l'escalier et partirent aussi vite qu'ils étaient venus. Seuls rester graver dans le tête de Suzie les bracelets qu'ils portaient au poignet. Elle passa deux nuits sans oser sortir. Affamée, épuisée, terrorisée par l'absence de lumière alentour, c'est ainsi que sa tante la découvrit. Ses parents n'étaient pas si insouciants et avaient envisagé qu'ils se fassent attaqués, lui expliqua-t-elle autour d'un bol de soupe. Ainsi, si jamais ils leur arrivaient quelque chose, un message devait lui être automatiquement envoyé. Elle se perdit en excuses de ne l'avoir lu qu'aujourd'hui mais Suzie n'entendait plus, elle sommeillait les yeux ouverts.
Sa tante, Eloïse, s'occupa dorénavant d'elle. Habitant une ville voisine, elle tâcha d'élever sa nièce du mieux qu'elle le put malgré sa solitude et quelques problèmes avec le quartier. La vie reprit son cours presque comme ci rien ne s'était passé. Suzie restait très discrète sur ce qui s'était passé et ne sortait que de temps à autres des remarques sur cette expérience. C'était de nature une enfant peu compliquée elle ne posa donc pas de problèmes à son hôte qu'elle n'arrivait pas à concevoir autrement que comme telle... ça ne serait jamais sa mère ou sa tutrice, et cela creusait un écart certain entre elles. Le fait que sa protégée ait si peu d'amis était le seul point sur lequel s'inquiétait Eloïse, mais elle n'osa jamais l'aborder, gardant cela pour elle. La vérité c'est que loin d'être repoussée par autrui, Suzie se refusait à amener ses connaissances chez sa tante de peur de lui causer du soucis.
Arriva cependant ce qui devait arriver, à douze ans elle gifla l'un de ses camarades de classe qui se vantait de connaître personnellement le plus vénérable et courageux de tous les Wrists. Tout le monde crut que c'était lié au mensonge qu'il venait de proférer, et tant mieux ne pouvait-elle s'empêcher de penser au fond d'elle même. Il eut la chance de s'en prendre une seconde quand il insinua que ses parents étaient des contaminés et qu'elle en avait honte. Peu après, comme si le rappel de se souvenir l'avait inspiré, elle demanda des détails concernant la profession de son père. Etonnée de cette intérêt bizarre qu'elle semblait porter pour son passé, Eloïse s'empressa de lui répondre que c'était dans les nouvelles technologies. Son interlocutrice opina comme confortée dans un choix.
Finalement, à ses seize ans, elle décida de quitter l'école, son foyer, pour apprendre en autodidacte ce qu'il lui restait à savoir et pour s'installer ailleurs. Ne laissant pas le temps à sa tante de l'en dissuader, elle s'expliqua tout de même : avait trouvé un endroit où vivre, marre de son quotidien, envie de travailler pour de bon, juste besoin d'aide financièrement au moins au début. C'est ainsi qu'elle s'en alla. Son jeune âge ne l'aidant guère, lui restait son talent naturel pour le domaine qu'elle avait choisi... marcher sur les traces de son père. Elle en est là, frustrée qu'on refuse de voir ses capacités dans l'absolu et qu'on reste fixé sur le fait qu'elle ne soit pas majeure, consciente que le risque d'attraper elle même le virus grandit de jour en jour, avec à nouveau envie de changements.



Armes, Techniques :
L'informatique et toute arme de tir présente dans les parages lorsqu'elle est énervée (ce qui est très rare).
Pas de technique particulière puisqu'il y a un manque certains d'entraînement, la fuite peut-être ?

Points forts :
Son intelligence bien que moyenne, a été tournée exclusivement vers tout ce qui est technologie de pointe, ce qui fait que c'est un domaine dans lequel elle excelle tout particulièrement. Suivant le principe bien connu du "mens sana in corpore sano", elle possède une endurance à toutes épreuves, la course lui servant à la fois de défouloir et d'échappatoire suivant si c'est un entraînement ou une situation bien réelle. Dans ce dernier cas, elle sera aidé par sa rapidité à analyser une situation.

Points faibles :
Suzie est particulièrement mauvaise en corps à corps et son manque d'expérience ne tourne pas à son avantage. Lui reste alors deux solutions fuir ou tirer lorsqu'elle a eut la sagesse de penser à prendre un pistolet. L'idée de posséder près d'elle une arme ne l'enchante guère, l'utilisation de celle-ci se fait donc à contre-coeur : de quoi fausser la qualité d'utilisation si elle est de bonne humeur. Sa phobie pourrait aussi être un point faible.



Ton prénom : Camille

Ton âge : 15 ans

Comment as tu connu le forum, l'aimes-tu ?
Par Lak (sous le pseudo Vularcheo).
Difficile de dire si je l'aime ou non si tôt, mais on dira que si ce n'était pas le cas je ne serais pas là.

Ton niveau de RP :
Hum... c'est mon deuxième RP donc j'ai peu d'expérience. Par contre je pense être capable d'assurer des posts de 40 lignes (dans un très bon jour) et plus aux alentours de 15/20 habituellement.


Code de présentation : [VALIDEEEE =D]

Parfait >8D j'attends ta présentation avec impatience miss ! (> Mangakonu c'moi >8D <)

Tout d'habord...
BIENVENUE PARMIS NOUS :D !

Ensuite, pour le moment, la description physique est bonne et le quota de ligne est respecté :) Quelques petites fautes mais franchement, on en fait tous ( moi en première xP ) donc pour ma part, ça me gêne pas DU TOUT =D

Il manque le code de présentation par contre :/ Sois tu n'as pas lu le réglement, sois tu n'as pas réussi à le trouver et là ch'te dis, cherche bien ;D

Bref, bonne continuation 8D !

Ouais bon, les syntaxes et les fautes diverses on verra après, qu'elle finisse sa présentation déjà. ^^

(J'aime les long et bien précis modèle de présentation ne vous étonnez pas s'il s'agrandit XD)

Bref. Sur mes mots, je te laisse tranquille et je te souhaite bonne chance ~

Je suis en train de corriger tout ça (tout du moins d'essayer, pour l'orthographe ça peut aller mais je tourne mes phrases bizarrement), de continuer et même d'allonger un petit peu.
Pour le code ce n'est pas un oubli, je compte le mettre (prochaine mise à jour de la fiche qui ne devrait pas tarder).

Sinon merci pour l'accueil /o/

Mais de rien très chère. J'espère que tu n'as pas eut trop de mal à avoir le code XD

Le code ne m'a pas posé de problème non, pour l'instant c'est plutôt sur la fiche en elle même que je galère x)
Le code est ajouté, la partie mentale presque finie et les points forts... entamés.

MOUHAHAHA. J'attendais ça avec impatience !

Alors, tu mettras le code en couleur (blanc ou etc.) pour qu'il soit visible et de plus il est incomplet ;D

*Rigole et pars loin*

Attendons la fin de ta présentation ^^

C'est pas drôle >_<
Cette fois ci j'espère bien qu'il est complet (et visible).

Manque l'histoire surement ce week-end, à moins qu'un autre point n'aille pas (qu'il soit modifié illico-presto) ?

HAHA ! J'avais pas vu que y avait du monde d'inscrit. Donc me voila 8D
Donc , BIENVENUE ! Rien de plus à dire que ce que mes chères copines admin ont souligné 8D

Mais, où est donc la première partie du code ? >8D

DANS TON C*BAAAAF* Ton cumulateur, Kiki. *BRIQUE*

La première partie est manquante effectivement XD

T'as insulté Kuku là *choquée*

Bref, on patiente tous.

Nooooon O:
Pas encore ? Bon cette fois-ci, s'il est pas complet je... non il l'est c'pas possible autrement. Enfin, j'espère.
L'histoire est finie, la fiche aussi par la même occasion.

J'aime ta fiche =)
Je te souhaite la bienvenue

Le code est bon ! ~

De plus, la fiche est bonne, quotas respectés ^^

Tu es donc validée !