Cette sale est obscure… C’est à peine si j’arrive à voir les quelques personnes qui m’entourent.
*... Celui ci à la peau très pâle. On ressent quelque chose dans son regard… Le meurtre. Il fait froid dans le dos. C’est très désagréable de se savoir dans la même pièce que lui. Il a l’air très endurcit. Sans doute est il contaminé depuis bien plus longtemps que moi. Son smoking blanc fait ressortir la noirceur de son regard et de ses cheveux. Sa chevelure descend jusqu’à ses épaules. Elle est très propre comparée à celles des contaminés que je peux croiser habituellement. Bon sang, si je le rencontrais dans la rue, je croirais vraiment qu’il s’agit d’un humain normal. Son visage ne parait pas concentré sur ce qu’il fait. Il a posé sa main sur la table, a écarté ses doigts et s’amuse à planter son couteau dans l’espace qu’il y a entre eux. Ca renforce l’idée de la noirceur de son âme. Je n’aime vraiment pas ça. Il lève la tête et me regarde. Ses mouvements sont très fluides. Il pourrait bondir de sa chaise et me tuer que je n’aurais pas le temps de me rendre compte de ce qu’il se passe. Quand il se redresse je peux comparer sa taille à la mienne. Il doit à faire à peu près un mètre quatre-vingt-cinq, voir plus. Les bruits de ses pas s’amplifient signe qu’il se rapproche de moi. Ses mocassins noirs entrent et se stoppent dans mon champ de vision alors que je regarde le sol pour échapper à son regard de criminel. Je lève progressivement les yeux, son pantalon est blanc lui aussi. Sur son visage qui était inexpressif il y a deux secondes était apparu un sourire macabre et sadique laissant transparaître de grandes dents pointues…

- Prends ce couteau et tranche toi la jugulaire ou je tue tout ceux que tu aimes, dit-il…

Bobby possède un « super équilibre mental ». En fait, Il n'a aucune personnalité propre, son cerveau est tellement équilibré qu’il n’est personne et tout le monde à la fois (bizarre hein ?), et pour qu’il puisse s’y retrouver dans le monde où il vit, il est obligé de se réinventer chaque jour, passant par exemple du citoyen honnête, droit et contaminé a l’antipathique cannibale complètement fou, d'où son côté imprévisible. Mais même malgré ces "transformations quotidiennes", certains traits de caractères subsistent : il est rusé, sadique et complètement égocentrique. De plus, il sait lui-même qu'il est fou mais pense qu'il est irrécupérable. Très fin psychologue, il est capable de contrôler ou de faire douter n'importe qui, ce qui en fera peut-être un ennemi psychologique des plus puissants. Cependant même si ses dons sont incroyables, il mise énormément sur une part d'improbabilité et de chaos, de risque (ce qui lui permet de ne jamais s'ennuyer). Il aime se lancer à lui-même des défis macabres et soudain, il n'a aucune peur de souffrir ou mourir, c'est justement cet aspect de sa personnalité qui le rend imprévisible, renforçant même son narcissisme et sa folie. Sa personnalité psychotique : sociopathe et psychopathe, motive toutes ses décisions. Bobby est par ailleurs très fort en ce qui concerne la torture psychologique. Vous l’aurez compris, Bobby est assez lunatique et psychopathe. Ses multiples facettes sont parfois très contradictoire et lui apporte beaucoup d’ennuis. Si il vous parle un jour, il peut revenir cinq minutes plus tard et vous descendre, comme ça, par goût du risque. Son mental est bien sa seule arme d’ailleurs, car il est très piètre combattant, mais par contre, il n’abandonne jamais.

C’est un jour mémorable. Aujourd’hui, je raconte ce que je sais de moi…
De ce que je me souviens, j’ai toujours été contaminé. J’ai dû naître comme ça. Je n’ai pas souvenir d’une quelconque vie autre que celle que je vis actuellement. Il semblerait que ma vie n’est été qu’un paradis avec pour cœur l’ultra violence et le crime. Je tiens mon nom de mon père, cet ivrogne invétéré. Je doute qu’il m’ait un jour aimé, j’ai souvenir de photos où l’on me voit défiguré par les coups qu’il m’infligeait. Je dois tenir de lui mon goût très prononcé pour la jouissance à l’ultra violence et le plaisir malsain que m’apporte la persécution des honnêtes gens. Ma mère je crois qu’elle est morte en me donnant la vie. Mon père m’en a tenu rigueur ce doit être pour ça qu’il devait me battre. Mon premier repas… Le goût chaud et ferreux de son sang qui coule également dans mes veines. Lui et moi avons fait partie intégrante l’un de l’autre quand j’ai dévoré son cœur à pleine dents. Je ne l’ai pas tué à proprement parlé (où dû moins ce n’est pas le souvenir que j’en ai) il me semble que j’ai commencé à le dévorer durant son sommeil. J’ai pris un couteau dans le dépotoir qui nous servait de cuisine et j’ai arraché un bout de sa cuisse. Je crois qu’il n’était pas très content… Et de lui, le seul souvenir que j’en ai gardé c’est le goût de son foie encore chaud qui fondait sur ma langue… Un vrai délice. Bon, évidemment, sa chaire contaminé (enfin je crois) n’a pas aussi bon goût que celle des Wrist. Le premier que j’ai cuisiné devait être un scientifique un peu gringalet. Ses tibias s’étaient brisés comme un rien quand je lui avais asséné le premier coup. Il était bon mais manquait de viande. C’est une chose que j’aime chez moi, la cuisine d’humains est un passe temps royal. Le jour où j’ai rencontré Hubert était un très beau jour, l’un des meilleurs de ma vie si joyeuse. Je l’ai trouvé un jour de pluie et m’en suis tout de suite servis à tuer. Je crois que c’était un Katar le premier que l’on a vu. J’ai lancé Hubert en plein dans l’œil droit de l’homme. Le liquide qui dégoulinait le long d’Hubert ressemblait à du jaune d’œuf et possédait la même consistance. On ne s’est jamais quittés…
S’il y a bien un humain que j’affectionne par-dessus tout c’est Franz, un citoyen de Paris qui était allemand autrefois. Il m’a un jour insulté en ne répondant pas à mon signe de tête qui signifiait bonjour. Depuis, je n’ai de cesse de lui couper un membre tout les samedis. Au bout de dix ans je crois qu’il ne lui reste, d’ailleurs, plus grand-chose à être découpé… Récemment je me suis mis à écrire mes souvenirs en compagnie d’un autre citoyen, les cris de Franz n’étant plus assez distrayant. Il s’appel Mathieu et je m’amuse beaucoup avec lui. On est quasiment inséparable. Il a était difficile de s’amuser avec lui au début. Mais j’ai réussi à le faire devenir presque aussi fou que moi, dit il en affichant un large sourire sadique. Maintenant il est schizophrène et il se sent coupable d’être un humain non contaminé. C’est à mourir de rire. Lui et moi je sens qu’on ira loin…

Inventaire du personnage : [ Facultatif ]
- Dague Arrangeant électrique
- Pistolet pour enfant en plastique modifié. Ne peut tirer aucune balle.
Points forts :extrêmement intelligent, il peut manier n’importe quel produit chimique et en faire une arme. Il est également très fin psychologue et peut faire ce qu’il veut d’une personne tel un marionnettiste.
Points faibles : Tout est réciproque chez lui selon le mental qu’il a sur le moment. Très lunatique, il peut tuer l’être le plus chère à son cœur par pure caprice. Son mental schizophrénique peut lui ordonner de faire le contraire de ce qu’il a fait il y a cinq minutes. Il aime s’attirer des ennuis. Il joue à des jeux très dangereux quand il est seul… Selon ses personnalité il peut parfois être très influençable.

Prénom / Surnom : Ben10 /o/
Comment es-tu arrivé sur le forum ? : Ca, on se demande…
Est-ce lu ? { BON # Kiki }