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 L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir

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AuteurMessage
Mathieu/Bobby

Mathieu/Bobby

Modo Créa-Objet & Piti scénariste ~

Messages : 204
Date d'inscription : 04/09/2009
Age : 38
Localisation : On s'en fout

Feuille du personnage
Classe : Citoyen
Situation sentimentale : Célibataire
Inventaire: Mathieu : 2 SplintFire avec viseur laser ; 1 Dragma 230 ; 4 Nourritures Majeurs ; 7 Hémopatch ; 1 lampe ; 1 corde ; 6 Grenades Alpha 208/450 Bobby : Dagues Arpaganne électrique ; Pistollet en plastique pour enfant trafiqué (Mais ne tire pas de balles...) 280/300


L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir Vide
MessageSujet: L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir   L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir EmptySam 27 Mar - 15:58

Bobby The Cannibal.

Pour une ambiance c'est ==>ICI<==

C’est un mercredi comme tous les autres. Les oiseaux ne gazouillent pas. Ils n’ont jamais gazouillés vraiment, ils ont tous, ou presque, passé leur temps à manger ces vers radioactif. Le soleil tape dur. Ses rayons brulent la peau. Personne n’a osé pointer son nez dehors, enfin, personne n’ose jamais pointer son nez dehors… tous ces gents souillés par l’avarice ne se rendent pas compte qu’en dehors de leur boulot, le monde est si beau. Avec ses oiseaux totalement désorientés, ses rayons ultraviolet qui brulent tous sur leur passage, ces arbres vert… enfin, vert fluo. Tssst, et dire qu’en ce moment les gens nous balancent de plus en plus de paroles en l’air, et surtout sans fait, et totalement inutile, sur la dé-radioactivation… Mon cul oui… Même pas foutu de rendre leurs arbres un peu moins vert, et leurs oiseaux un peu moins cons. L’ascenseur descend peu à peu, et avec lui, ma vision du monde s’éteint. Je reprends consistance, mon teint retrouve ses couleurs… Bordel, je n’avais pas été aussi malade depuis tout gosse. J’dois être livide, presque transparent, et pourtant y à pas deux secondes que je me suis dis que mon teint reprenait des couleurs… Raah! C’est encore ces saletés de médocs qui m’ont shooté… c’est vrai, je vois les lignes qui se déforme… Ça fais vraiment chi*r. voilà, j’suis dans la basse ville maintenant. J’dois vraiment faire du bruit, tous les gens dans leur maisons me regarde comme si j’étais Jésus portant sa p*t**n de croix. Je ne sais pas ce qui me retient de leur faire un doigt. Le pire, c’est que je me rends compte de rien en plus… ce dont je suis sûr, c’est que je ne marche pas droit, et qu’un truc m’a piqué dans la nuque… j’sens mon corps qui s’alourdit, je suis pris de convulsions violentes, mon cœur bat la chamade à fond, j’suis sur le sol, pris de soudain vomissements. Mon regard se vide de lueur d’une quelconque vie. Je me sens peu à peu mourir, j’ai l’impression de me voir partir au loin, voler au dessus de mon corps. J’suis devenu un fantôme c’est ça? J’devrais être apeuré, horrifié de me voir ainsi flotté au dessus de mon cadavre inanimé, et pourtant, je suis pris de fou rire, une euphorie soudaine que je ne contrôle pas. Mes yeux regardent le ciel, pas mon cadavre. Je continue à rire, un grand sourire se dessine sur mon visage, je ressens tout, mais ce n’est pas moi qui dicte ce que doit faire mon corps. Une de mes mains se glissent dans une de mes poches, et sortent mon 23 millimètre. Les fous rires ne s’arrêtent pas, et mon corps ne m’obéit pas non plus. Je pleure, les larmes coulent sur le long de ma joue, et s’étale sur le trottoir, je suis toujours allongé dessus, mes yeux se ferment, mon énorme sourire s’élargit encore d’avantage, mes bras bougent tout seuls, et le canon de mon arme est braqué dans ma bouche. Je sens le métal froid sous ma langue. Mon pouce avance doucement vers le ciel, tout en actionnant un peu plus la gâchette…

- Je ne ferais pas ça si j’étais toi! Bien que ce soit assez marrant! Mais je pense que tu as déjà assez salis le trottoir ici! HAHAHAHAHA!!!

J’essaye tant bien que mal de reprendre le contrôle de mon corps. Je veux voir celui qui m’a parlé. Mes paupières se déplient. Mes yeux se tournent enfin vers lui. Il est habillé en… en… je ne trouve pas les mots, les clowns de la cour des rois, p*t**n, j’ai vu leur têtes dans un vieux bouquin d’histoire, un fou du roi! Un fou tout coloré. Avec des bracelets grelots autour des poignets et des chevilles, un costumes damier, avec comme couleurs du verts émeraudes très sombres, et du rouge pétant. J’aime son chapeau, et mon corps rigole lui aussi quand mon regard se tourne vers son haut de forme. De la même couleur que son costume, avec des pointes et encore des grelots aux bouts. Il est très drôle à faire le funambule sur cette barrière. Ses chaussure sont en étoffe très fine, de couleur marrons terre sèche. Pour ce qui est de son visage, il est très très pâle, peut être plus pâle encore que le mien, son maquillage tient bien malgré ses prouesses normalement fatigantes. Je ne peux vraiment le décrire, il est grand et fin, son visage est tout blanc, sauf sa bouche, une petite bouche noire, une vraiment toute petite bouche dessinée, elle aussi. Mon corps me ré-obéit au pris de multiples efforts. Mon rire, lui, ne s’arrête pas, je parviens à me remettre debout. Lui aussi il rigole, il a une immense banane, et sa petite bouche maquillée est très déformée. Sa tête se tourne vers moi, et son coup s’allonge de deux mètre pour se mettre à une dizaine de centimètre du mien. Il oblique un peu la tête sur le coté, sers sa bouche et bat très vite des paupières. J’entends les violons qui jouent à coté un ai triste, qui est tout à fait propice à la scène, et j’éclate d’un grand rire. Son fard à paupière violet brillant lui donne un air très touchant. Et ses petits yeux, blanc-jaunit, humide et tout à fait à mourir de rire. Son coup se rétracte, et il saute en l’air, à plus de sic mètres au dessus du sol, fait plusieurs pirouettes hautement acrobatiques, et atterrit sur ses deux pieds avec la grâce d’un signe. Ses grelots sonnent à chacun de ses pas. Et il me fait signe de le suivre. Ce que je fais. Mon corps m’obéit totalement, mais mon hilarité, elle, ne cesse de croitre à mesure de ses pitreries.

- Eh bien mon cher Mathieu, je t’ai connu plus méfiant que ça dit donc!… Ompf! « GLING GLING »

Il se mit à marcher sur les mains.

- Tu te demande qui je suis, d’où je viens, et surtout comment je connais ton prénom. Alors, pour faire court, tu ne contrôle absolument pas ton corps, il agit tout seul, mais il a juste était en accord avec ta pensée une fois, c’est pour ça que tu crois que tu me suis de ton plein gré. De deux, mon gars t’es raide!

- HAHA… Ça… gui…GUIHAHA c’est les…Ha… médocs…HAHAHA….

- Non, je voulais dire, t’es RAIDE-MORT!!! HAHAHA!

- HAHAHAHAHA!

Mon rire accompagne le sien, et je ne pige absolument rien de ce qui est en train de se passer.

- HAHA… et comme t’es raide comme un poireau mon ami, bah… je suis là!!! Là pour te remettre dans le droit chemin!!

Il prit une mine très sérieuse, et son costume se changea en celui d’un homme d’affaire, une chemise blanche avec une cravate, et des lunettes apparurent sur le bout de son nez, des lunettes rectangulaires lui donnant un air supérieur, hilarant.

- Tu trouves ça drôle mon poireau?

- HAHAHAHAHAHA…!!!!!!!!!

Il se changea en petite vieille, avec un chapeau poussiéreux, avec une corbeille à fruit dessus, un long manteau vert-feuille apparut sur ses épaules, son dos se vouta, et ses lèvres se serrèrent une fois de plus, lui donnant une mine vraiment très marrante.

- HAHAHA! T’es vraiment con, tu le sais ça mon poireau? Tu m’as laissé t’entrainer dans le sous sol, et en plus, tu n’a toujours pas arraché la petite seringue qu’un connard t’as enfoncé dans la nuque! HAHAHA!

- Gue…gui…GUIHAHAHA!

Mes mains se serrèrent autour d’un objet en verre froid, et retirèrent la seringue de ma nuque, l’aiguille devait être longue car je sentis assez longtemps son fer froid glissé le long du trou qu’elle avait causé.

- ET EN PLUS IL RIGOLE MON POIREAU! MOHAHAHA! Tu sais, ce n’est pas tes médocs qui te font triper à t’elle point que t’as pas remarqué les contaminés à deux mètre de toi, non, c’est cette pitite seringue!!!!… D’ailleurs il en reste un grand fond!!!… dis, pour moi, tu ne voudrais pas faire taire ta conscience, et t’enfoncer le reste dans les vaines?

Il refit alors sa mine très attendrissante, et je ne pus m’en empêcher, l’aiguille s’enfonça dans mon poignet, et déversa pour la deuxième fois, sa saloperie dans mon corps. Ainsi, les morsures s’enchainèrent, je vomissais de nouveaux, l’hilarité m’envahit une fois de plus, et au dessus des contaminés, debout sur leurs têtes baissées qui me dévoraient, se tenaient le fou, qui riait à grand cris, en tenant entre ses mains mes deux poignet. Son rire augmentait d’intensité toutes les secondes et le mien copiait son rythme. La chaleur de mon corps augmente.

- POUSSE TOI MON GROS, s’écrit-il, LES PETITS AIMERAIENT BIEN EN AVOIR AUSSI!

Il bondit des deux crânes sur lesquels il se tenait et donna un coup de pied en plein dans le menton d’un gros contaminé qui avait la bouche pleine de ma chaire. « Mangez! Car ceci est mon corps! ». Cria mon coude plié dans le mauvais sens. Le contaminé vola deux mètres et s’écrasa sur l’un des piliers de soutien du parking souterrain dans lequel Bobby m’avait entrainé. Bobby le cannibale. Je ne sais pas comment je le sais, mais ça m’est venu à l’esprit comme ci c’était une information évidente que l’on découvre seulement maintenant à propos de laquelle on se dit que c’était pourtant évident. Et le coup qu’il à porter au cannibale est donc bien réel. Bobby existe bel et bien. Il rigole très fort, ne cache pas son hilarité et son plaisir jouissant de les voir me dévorer, et tomber en suçant mon sang empoisonné qui coule dans mes veines à cause de cette drogue dans cette seringue que Bobby à voulu que je finisse de m’injecter. Ils tombent tous comme des mouches. Il y a un je-ne-sais-quoi dans ce que l’on m’a mis dans le sang qui les fait mourir les uns après les autres. L’effet néfaste s’estompe, et bientôt, je sens mon corps s’envoler, le chemin devient vert, le pavé fleuri pousse encore et encore. L’éléphant rose m’attrape à la taille et il me décolle du sol. Doucement, ses ailes se déploient, sa vitesse accélère, il n’hésite pas, il défonce les contaminés sur son passage. Bobby fais l’idiot derrière moi, et il m’invite à faire de même. L’air de rien, nous nous rapprochons d’un lieu lumineux construit à même la roche. Le passage s’ouvre, la lumière m’inonde, et c’est un nouveau monde qui s’offre à moi. Les hallucinations se fondent au réel et le lieu s’offre à moi, et je lis tout ce monde comme un livre. Un endroit haut de trois-cent mètres.

Spoiler:

Une immense cave conique avec un chemin en colimaçon qui monte jusqu’à plafond. Tout au long de ce chemin, il y a des cavernes creusées manuellement par des hommes effrayés, des hommes qui ont été rejetés d’un monde par d’autres qu’ils croient acquis alors qu’ils ne contrôlent rien. Les hommes qui ont construit cet endroit, eux, ont les idées en place, ils ont juste un défaut. BUVEZ! CAR CECI EST MON SANG.
J’ai peur. Enfin je crois. Je n’ai plus ressenti la peur depuis ces six derniers mois. Depuis que je ne suis plus ce que j’étais. Depuis que j’ai perdu mes seuls amis.
Ils m’accueillent comme des personnes civilisés. Même pas envie de me croquer. Bobby sourit, son visage est au dessus du mien. Son corps à disparu. L’éléphant disparait lui aussi. Les poignets de main s’enchainent. Ils ont l’air heureux d’être ici, enfin, que je sois ici. L’endroit est éclairé par des lampes, des centaines de lampes à combustion, pas des lampes thermiques comme celle que l’on trouve habituellement dans les rues de l’île. Ils commencent à m’entrainer avec eux. D’après ce que je comprends, leur maitre souhaite me voir. Je n’en ai absolument aucune envie. Je retrouve Bobby. Il parle à une ravissante jeune femme. Il rigole ensemble gaiement.

- Pourrais-tu m’expliquer pourquoi tu m’as entrainé ici? Lui dis-je d’un ton assez aimable. Je ne connais absolument personne, par contre tous ici ont l’air de me connaitre…

- Haha! Très cher Mathieu, je te présente une amie d’enfance à moi, voici Martha. Martha, voici mon pote Mathieu, celui dont je te parlais.

Elle me tendit une main, que je serrai sans trop y prêter attention. Mon esprit commencer à revenir à lui, tout en continuant d’avoir des hallucinations, le verts ne s’était pas estompé, et Bobby non plus…

- Relax Max! Tu n’aime pas ma famille? Mes amis? Mes voisins? Ils sont très gentils, pas très différents de toi ou de moi d’ailleurs. Ils n’ont juste pas les mêmes gouts que toi en matière de viande. Je parlais de toi à Martha justement, ou plutôt c’est elle qui me parlait de toi. Elle me demandait -allons, ne fais pas ta timide- elle me demandait qui tu étais, elle te trouve très séduisant.

Génial! C’est vraiment super! Une contaminé qui me trouve mignon à croquer! Pff franchement, je me demande pourquoi je perds encore mon temps ici…

- Euh… je me tournai vers elle. Surtout ne le prenez pas mal…

Mais qu’Est-ce que je dis! J’m’excuse auprès d’une bouffeuse de chair humaine, sans doute quelqu’un qui a par le passé bouffé un de mes amis!…
impossible… je n’ai pas d’amis.

- … Mais franchement, Bobby ce n’est pas vraiment mon fantasme d’avoir une copine cannibale. Tu sais très bien…

Enfin, comment je peux savoir qu’il sait…? Raah, trop de chose ne s’explique pas.

- … Bref, tu te doutes, dû moins, je l’espère, que je déteste les cannibales! Dis-je

- Oui, tu les détestes autant qu’Armaël détestait les scientologues? Me répondit-il. [Inventions, faut bien inventer un peu d‘histoire en mille ans.]

- Non…

- Ou autant qu’Hitler détestais les juifs…

- Je ne suis pas…

- Ou encore autant que l’empire Ottoman envers le peuple Arméniens?

- NON…

- He bien alors? Je croyais que tu détestais ce peuple?

- Détester un peuple ne signifie pas commettre un génocide envers lui!

- Ha bon? Ce n’est pas ce que tu fais? Toi et les autres hommes « normaux » ??? Comment osez-vous vous affubler d’un tel nom alors que vous êtes loin d’être normaux! Vous, bande d’enfoiré, qui venez faire des rafles parmi le peuple que je chéris tant! Vous qui vous vous prenez pour des hommes saint avec toute vos expérience sur les congénère de ce peuple! Vous qui chaque jour que dieu fait, commettez un peu plus de crime!

- VOUS N’ÊTES PAS DES SAINTS NON PLUS! À VENIR NOUS MANGER PENDANT QUE NOUS DORMONS!!!

- NON!!! NE DIS PAS DE CONNERIES!!!!! AS-TU UN SEUL TEMOIGNAGE COMME QUOI NOUS AVONS DEVORE DES HOMMES, SE DISANT NORMAUX, LA NUIT!?!

En y réfléchissant bien, oui, oui j’en avais, et plus d’un en faites, les articles de journaux apparaissaient dans ma tête…

- NON, JE N’EN AI PAS! COMMENT VOULEZ VOUS QU’IL Y EN AI??? VOUS REUSSISSEZ VOS COUPS A CHAQUE FOIS! IL N’Y A AUCUN TEMOIN DIRECT, MAIS IL Y A TANT DE VOISINS!!!!

- AH OUI? ET FORCEMENT VOUS LES CROYEZ? VOUS ÊTES VOUS DÉJÀ BASES SUR LES JUGEMENT DE QUELQU’UN D’AUTRE QUE VOUS-MÊME? NON???

- NON, NON EFFECTIVEMENT. À QUOI BON? SI L’ON VOUS POSE LA QUESTION, VOUS TENTEREZ AVANT TOUT DE NOUS DEVORER!

- A QUI LA FAUTE??? QUI LES PERSECUTE DEPUIS QUE L’ÊTRE 1 EST APPARU???

- VOUS AVEZ TENTEZ DE NOUS DEVORER!

- NON! ILS SE SONT DEFENDUS!

- TOUT COMME NOUS! Hurlais-je.

- ALORS A QUI LA FAUTE?? CE QUI RENTRE DANS DES MAISONS LA NUIT POUR CHERCHER LEURS ENFANTS ET LES ARRACHERS A CE MONDE POURRIT QUE VOUS APPELEZ NORMAL ET QUI ONT LAISSE ENTRER UN HOMME « NORMAL » DANS LEUR REPERE SANS LE DEVORER? OU A CEUX, QUI, CHAQUE JOURS, AUGMENTE LE NOMBRE DE CADAVRE D’ENFANTS QUI VIVAIENT PAISIBLEMENT AVEC LEUR PARENTS DANS CE MAGNIFIQUE ENDROIT OU PERSONNE NE VOUS EMBÊTE???

L’éclair passe dans mon crâne. Ma conscience se prend un coup des plus puissant que le monde est connu. Je ne trouve rien à redire, son argumentation est parfaite. Et pourtant, à aucun moment il n’a abordé le faites que des contaminés m’on déjà mordu…

- J’ai déjà été mordu, tu le sais aussi bien que moi…

- Je te l’ai expliqué. Je n’ai pas la réponse à cette question mais, certain pense que c’est vous qui avez commencé cette guerre. Et comme dans votre monde, notre société n’est pas parfaite, elle a ses lacunes à combler. Les meurtriers ne sont pas acceptés ici. Certains parmi les contaminés garde une conscience, et se souviennent qu’avant d’être mordu, ils détestaient les cannibales. Quand ils le deviennent, ils ne se détestent pas, mais certains se décident à ne pas commettre les erreurs que certains ont déjà commis à leur égard. Ils deviennent bons, fondent en général une famille, ou apporte la leur avec eux. Beaucoup ne sont pas heureux au début. Je sais par exemple que parmi vous, beaucoup ont dû tuer leur parents car ceci étaient devenu des contaminés, il y en a qui ne l’ont pas fait. Regarde Martha…

Il m’entraine avec lui. La foule qui nous regardait nous crier dessus, soutint son regard sur nous, et beaucoup nous accompagnèrent jusqu’à l’entrée d’une belle grotte qui ressemblée à une maison comme les autres, avec des photos d’enfants accrochés aux murs, de fleurs ici où là, une table, un canapé… Martha était assise et tenait un bébé dans ses bras, deux autres gosses tourné autour d’elle, un gamin qui devait avoir six ans et une fillette de huit ans. Martha souriait. Elle donnait le biberon au bébé dans ses bras, dedans il y avait un liquide rouge…

- Qu’est-ce que…? Qu’est-ce qu’il y a là dedans? Ce n’est pas du sang j’espère!?!

- Ça pourrait être du sang. En faites, c’en est… mais c’est du sang « artificiel »

- Pourquoi « artificiel », Avec une telle mimique?

- Tu ne vas pas apprécier… le sang n’est qu’à moitié artificielle… trois humains avec un certains sang… nous permettent de tenir approximativement une semaine… souvent plus.

- Trois humains? Rien que ça?

- Oui… je ne suis pas très fier de ça. Mais ils ne sont pas choisis vraiment au hasard… Tu nous aide à choisir sans le savoir… Tu sais, quand tu te combats contre certaines enflures de chez les Wrists où de chez les Katars? Nous les gardons en vie et nous extrayons ceux du sang O+. Les autres ont un sang trop complexe qui ne permet de nourrir que très peu d’entre nous. Seuls les types de contaminés AB peuvent manger les hommes de types AB, personne ne peut consommer tous les sangs, mais tout le monde peut consommer le sang OO. Est-ce que les humains « normaux » ont découverts ça??? Non, je ne crois pas, ils s’intéressent plus à leur survie qu’a celle de toutes une nation!

- Non! Ils cherchent aussi à mettre au point un vaccin!

- Pour eux! Pour ne pas devenir comme nous, à aucun moment ils n’ont souhaité que nous ne redevenions comme eux! Mais peu importe, ils sont bien comme ils sont!

- Tu voudrais que toute la terre soit comme vous, c’est ça que tu essais de me dire?

- Comme eux, comme toi, comme moi. Au fond nous sommes tous pareil! Ils n’ont pas les mêmes besoins, c’est tout! Mais avec le matériel que vous possédez là haut, ils pourraient très bien créer un sang cent pour cent artificiel!

- Pourquoi ne me parles-tu que de sangs? Vous êtes cannibales, vous ne buvez pas que le sang, vous videz également nos carcasses! Vous n’êtes pas des vampires!

- Non, bien sûr que nous ne sommes pas des vampires. Le sang est leur source de vie, comme l’eau pour vous. Votre chair nous fournis en vitamines, et grâce à elle nous sommes en bonnes santé. Quand nos cellules commencent à manquer, il ne suffit que d’un seul humain pour tenir vingt ans!

- Un seul pour vingt ans? C’est bien beau, seulement vous êtes en trop grand nombre! Vingt ans avec un seul humain, sauf que vous êtes au moins mille rien qu’ici, dans cette salle souterraines!

- Eh oui… c’est bien là le problème. Et nous n’avons toujours pas trouvé de moyens artificiels d’en créer…

Le silence s’installe. Et peu à peu, je prends conscience que notre monde est encore plus pourris que ce que je me suis toujours dis. L’harmonie ne pourra pas exister entre eux et nous tant qu’ils auront besoin de sang et de chaire pour vivre… je ne sais pas trop quoi lui dire, ses explications sont claires comme de l’eau de roche, et je n’ai vraiment rien à ajouter. Il doit exister une centaine de criminels contaminés, c’est pour ça qu’il y a des agressions sur des humains innocents.
Au bout d’un certain temps de cogitation, je repense une dernière fois à tous ce qu’il m’a dit, et je ne trouve pas de réponse…

- Mais dis-moi, pourquoi tu…

- …Ha! J’attendais que tu me pose la question! Pourquoi Est-ce que je dis eux et non pas nous. Je ne suis pas un contaminé, je ne suis pas un humain « normal », comme vous dites, je suis l’être numéro 1. Le virus s’est développé en moi plus vite que chez les autres. Depuis le temps que l’on essai de me capturer… Haha!… je suis plutôt bon. Et pour ta gouverne, sache que le sérum que l’on t’a injecté et en faites l’un des prototypes du vaccin chez les Katars. Ils sont un peu plus développé que chez les Wrists, ils ont ciblés le problème, mais ils ne l’ont pas résolu, ils auraient bien besoin de mon sang pour ça…

- …Mais alors pourquoi tu…

- Pourquoi je ne leur donne pas alors que depuis tout à l’heure je te bassine avec le fait que nous devrions tous êtres normaux? Vous ne le méritez pas.

Il s’interrompit. Je pensais tout d’abord qu’il comptait prononcer la suite mais il n’en fit rien, alors je le questionnai.

- Et… Pourquoi?

- PARCE QUE, VOUS, HUMAIN « NORMAUX » QUAND VOUS AVEZ COMMENCE A VOUS SERVIR DU VACCIN COMME D’UNE ARME CONTRE EUX, LA GUERRE ENTRE NOS DEUX ESPECES, QUI SONT LES MÊMES, A ÉTÉ DECLENCHEE!!! EH OUI, LE TIR QUI T’A TOUCHE M’ÉTAIT DESTINE!

- La guerre? Mais qui te parle de guerre? Ce n’est pas de notre faute si quelques abrutis de je-ne-sais-où ont inventé un vaccin-arme et s’en servent contre vous, nous ne sommes pas responsables de ça!

- Va-leur expliquer ça à eux! Tu crois qu’ils ont réagis comment? Vous vus ramenez dans notre chez nous toujours un peu plus nombreux à chaque fois, vous tuez quiconque se dresse contre vous, vous tuez leurs enfants, comment veux tu qu’ils réagissent? La rage les aveugles! Du jour au lendemain ils n’ont plus de voisin, plus d’ami, plus de gosse à chérir! Ils s’en prennent à ceux qui les mettent plus bas que terre! Ils s’en prennent à vous! Pourquoi les tuer? Que vous ont-ils fait? La plupart récupère leurs gosses encore « normaux », les seuls qui vous causent sont les bannis de cet endroit bénit que chaque vous piétinez un peu plus en vous souciant peu des dégâts que vous faites! Jamais ils ne vous ai venu à l’esprit que nous n’étions pas tous comme ça? Que nous n’existions pas seulement pour satisfaire vos besoins sadiques de tuer, de vous défouler sur un peuple innocent? Jamais! Et après vous vous appelez savant, espèce supérieur vous qui n’êtes pas foutu de retirer la connerie qui vous brouillent la vue! Vous qui jamais ne regardez derrière vous pour vous assurer que vous n’avez rien oublié! Alors dis le moi franchement Mathieu, qui de toi ou de moi et la personne la plus civilisé? Qui a pris le temps de se poser et de réfléchir à tous ça sans précipitation aucune? Qui de nous deux est la plus stupide? Qui est la plus détesté d’un monde qui ne le comprends pas, toi ou moi?

Ses mots sortent un peu plus puissamment à chaque fois, ses poignard avec inscrit « vérité fracassante » sur la lame sont douloureux et continuent de s’enfoncer malgré que les paroles qu’il prononçait se soit arrêtées. Jamais vérité ne m’avait paru aussi douloureux et pourtant, je me demandais pourquoi il me parlait de ça à moi, il m’était largement supérieur, et il le savait. Ce n’était pas étonnant, je suis peut être le pire homme du monde, infecte, distant, buveur, fumeur, sadique, sinistre, vil, cruel, con… ouais, si c’est ainsi que s’écrit l’histoire, je crois que je suis le grand méchant. Insouciant de voir les gens se faire agresser dans la rue, enfin en général c’est moi qui les agresse. Putain de tout les gars qu’il aurait pus choisir, c’est sur moi que c’est tombé. Alors je suis le grand méchant loup, fais ouf et pouf et la maison s’écroule. Qu’est-ce qu’il attend de moi? Aucune idée, mais il faut que je choisisse mes mots, il n’attend que ça, que je fasse un mauvais pas, un mot, une parole en l’air et s’en est finit du monde que nous connaissons tous. Du monde que je connais, les murs s’écroulent déjà, le toit va me tomber dessus et pourtant je n’ai pas soufflé, je n’ai pas dis un seul mot, je ressens déjà sa structure me démolir les côtes au fur et à mesure que le temps passe, pourtant rien ne s’est passé. Dois-je vraiment prononcé ces derniers mots? Il m’a choisi moi, je passe mon temps à les tuer, à passer mes nerfs dessus, à les démolir, leur joli crâne, femme, homme, ou gosse de tout âge, je n’ai jamais fais aucune distinction, pour moi ils n’ont jamais été plus que des corps de chair et d’os animés dans le but de tuer tout sur leur passage peut importe que ceux qui les accompagnaient tombent, ils continuaient. Jamais ils ne reculaient pour moi, ils se jetaient tous à l’abattoir s’approchant un peu plus de moi dans l’espoir de voir la lueur de mon œil s’estompait. Jamais ils n’ont réussit, tous, je les ai tous tués. Ils m’ont quasiment tous supplié. Je n’ai jamais regardé leurs yeux à eux. Pour moi j’étais simplement fier d’éviter à des enfants qu’ils capturaient de devenir comme eux. Jamais je n’aurais pensé qu’ils amené simplement leurs enfants dans un monde meilleurs. Ils ne se sont jamais dit qu’avec nous à la surface il serait mieux pour leurs enfants de les laisser là haut en attendant qu’ils grandissent? Non jamais. Car c’est gosse, tous, tous, je les ai tous tué. Ils seraient devenu de parfaits assassins avais-je pensé, autant éradiquer les futurs bourreaux à la souche non? Putain ce que je pouvais être con. Un sentiment nouveaux grandit en moi, et peu à peu je change, je me revois gosse, encore minot dix-huit ans, engagé volontaire dans une armée idiote et sans avenir. Pourtant de l’avenir j’en ai eu, j’aurais sans doute été promu Capitaine. L’armée se doit être le seul métier qui possède de l’avenir aujourd’hui. La société se dégrade, les gens ne voient pas l’utilité de travailler, l’argent n’a plus de valeur, les gamins de moins de quinze ans n’en ont jamais entendu parler. Le monde préfère se débrouiller selon ses moyens, trouver ce dont-ils ont besoin dans la rue, les aides humanitaires foisonne et personne n’y gagne rien, tout le monde perd au change. Cette société que je blâme un peu plus chaque fois que j’y repense ne croit plus en rien. Les Wrists ne contrôlent plus rien, ils sont détestés par de plus en plus de monde chaque jour.ils n’ont aucun pouvoir, ils ont pour la plupart des manières hostiles. Décapités le mari d’une femme sous ses yeux juste parce qu’il n’est plus de la même espèce d’homme n’est pas admissible. Est-ce que je m’entends parler? Oui, sans doute, je ne peux pas prendre la défense d’un monde comme le mien, et jamais la responsabilité d’une telle chose n’aurait dû me tomber dessus. Pourquoi? Je suis en faites le malin à l’état pur. Je suis le vice incontesté et à vrai dire tout le monde s’en fout. Sauf eux. J’incarne à moi tout seul tout les maux que connais le monde aujourd’hui. C’est pour ça qu’il m’a choisi. Un sentiment nouveau monte en moi. Il veut que je l’exprime, il sait que ça me ronge de l’intérieur, que ce sentiment me broie les côtes, qu’il ne demande qu’a sortir, s’exprimer. Comment exprimer un sentiment nouveau? Surtout celui-ci. Exprimer la culpabilité d’un monde n’a jamais fait parti de mon vocabulaire.

- Je suis désolé.

Je sens les regards se satisfaire autour de moi. Il n’attendait que ça. Que l’homme le plus immonde du monde qui les a châtier s’excuse pour tout les pêchés qu’il incarne. Je sais ce qu’ils disent tous, et ce que Bobby pense tout haut. Des excuses ne suffisent pas, et ils n’attendent que ça, que je sorte. Que je sorte, que j’affronte leur regard inquisiteur tous emplit d’une haine immense qui ne demande qu’à s’exprimer. Bobby sait. Bobby a toujours sût ce qu’ils ressentaient. Ils veulent me tuer, et je descends la pente qui mène aux enfers. Conscient qu’une fois arrivé en bas il ne m’y achérontias rapidement, chacun tient à me faire savoir la souffrance qu’il endure depuis parfois plusieurs années. Alors j’avance, je descends vers l’échafaud, mon bourreau m’accompagne, cette conscience qui jamais n’a cessé de me tourmenter silencieusement. Je pose un pied sur un sol que je ne connais pas. Je suis arrivé en bas, les hommes et les femmes s’écartent. Je m’avance vers le centre de la place qui verra la mort d’un homme, un seul homme qui paiera pour tant de crime tous commis dans le plus grand des biens. Tous commis sans se soucier du bien ou du mal. Des meurtres commis juste pour s’amuser, se défouler. Je ne suis qu’une bête immonde et répugnante qu’on mène à Cerbère pour qu’il me lacère de ses milliers de crocs tous plus douloureux les uns que les autres. J’accepte les milliards de coups de fouets qui s’abattent sur moi, qui s’écrase sur mon dos à chacun de mes pas. Ils sont un peu plus lourds à chaque fois. Mes pieds veulent ralentir, ma volonté ne les en dissuade pas, elle ne le veut pas également. Qu’est-ce qui peut me raccrocher à la vie? Leur dis-je. Je n’ai jamais rien fais de mieux que tuer, je n’ai jamais aimé, jamais donné d’amour à cette mère qui m’a donnée la vie et à cette foule qui va me donner la mort. J’ai tué, je n’ai fait que ça. Quoi de plus naturel que de mourir pour une fois, pour changer.
Je suis au milieu de la place. Ces hommes et ces femmes ont formé un cercle autour de moi. Parmi ces milliers de personnes, seuls quelques unes auront la chance de me voir mourir, encore moi auront la chance de m’asservir le dernier coup. Personne ne me donnera le dernier coup en réalité. La mort viendra à moi dans ce couloir noir toujours embrumé, elle me jonchera du regard me montreras du doigt et elle rigolera. Après eux, il y a elle, cette faucheuse qui sait garder une personne en vie en la faisant souffrir comme jamais je n’ai fait souffrir quelqu’un moi qui étais un professionnel des interrogatoires. Les gens de cette fosse vont m’assener de coup tous plus mortel les uns que les autres. Viendra ensuite la faucheuse qui s’amusera avec moi pour l’éternité et je souffrirais peut être mille tourments jusqu’à la fin de mes jours en enfer. Est-ce que l’enfer existe? Non, je ne l’ai jamais cru… mais bordel est-ce que c’est bien le moment de se poser des questions existentielles? Ça jamais était le moment en faites. Pas dans ma vie en tout cas…
Les coups pleuvent. Je ne fais plus la différence entre le sang qui coule de mon nez au cartilage pété de celui de ma bouche aux multiples dents cassées. Mais au fond, je m’en fiche, je ne bronche pas. La piqure de rappel que me fait subir la culpabilité est un milliard de fois plus douloureuse. Je ne sens rien, absolument rien, je sais ou cela m’entraine, la descente de tout à l’heure n’a jamais terminé, la pente est apique, et au fond il n’y a rien, juste une dame somptueusement belle vêtue de noir qui m’attend prêt à m’asséner le dernier coup. Le plus doux, le dernier baiser qu’il me sera donné de recevoir. Le baiser fulgurant de la mort. Je n’aurais pas le temps de sentir son contact. J’ai le temps de sentir leur coups qui ralentissent, ils s’ennuient, aucune réactions de ma part. Les joues enflé, les yeux couverts de bleu, c’est à peine si je vois devant moi. Mon T-shirt est en lambeaux, je suis couvert de morsure, personne n’a touché à mes poignets. Pourquoi? Ils ne veulent pas que je devienne comme eux? C’est compréhensible, je ne suis pas un atout majeur dans n’importe quelle équipe. Je compterais bien le nombre de dents que j’ai perdu, mais seulement je sombre dans l’inconscient. Alors c’est à ça que ressemble la mort, à une course effrénée contre des gens familiers à qui on a ôté la vie.je revois cette homme d’affaire qui marche sur le moignon de sa cheville avec son attaché-case à la main, ces gosses qu’a mainte reprise j’ai cru tué. Ils avaient tous le même visage, celui de la mort la bouche empli de sang. En réalité ils étaient la vie, à jamais.ils disparaissent tous, ils gagné la course, tous passé devant moi à une vitesse fulgurante. Il ne reste qu’une personne, une seule, encre un gosse. Qui est-il? Aucune idée. Pourquoi n’est il pas devant avec les autres? Aucune idée. Il court. Il est aussi rapide que moi. Il est blond, à les yeux vert, un T-shirt simple, un Jean simple, des chaussures simples. Ce gosse c’est moi. Après quoi nous courrons? Après la vie. Après la vie qui nous a dépassé tant de fois, après la vie qui jamais n’a cessé d’être plus rapide. Il s’accroche. Il s’accroche de toutes ses forces. Il survivra. Mais à quoi bon? Il sait qui je suis. Il pleure. Il me connaît plus que je ne le connais. Il me déteste. Il ne voudrait jamais m’avoir connu, il sait maintenant à qui il va ressembler. Il grandi. Il à alors dix huit ans. Il sait d’où il se rapproche. Ralentit lui cris-je. Il ne m’écoute pas. Rien ne le retient. Il est seul. L’ombre d’une feuille morte, l’ombre d’une ombre. Invisible, inutile et encombrante. Malgré qu’il sache comment il finira, il coure, lutte contre le courant qui l’entraine dans le sens inverse. Pourquoi s’accroché. Cette course folle qu’on appel la vie ne vaut pas la peine d’être courue, vécue par des gens comme moi. Il part devant. Je ne le vois plus.

Le vent chatouille mes narines. Le soleil caresse tendrement mes paupières. J’ouvre les yeux. Le soleil tape toujours autant. Mon T-shirt est en lambeaux, j’ai des cicatrices sur tout le corps. Je sens une odeur qui jamais ne m’avait frappé, je ne me connais plus, et la mort flotte en l’air. Un monde que jamais je n‘ai connu. L’enfer est il revenu sur terre? Ou c’est moi qui ai toujours vécu en enfer? Je suis mort et pourtant je ne suis pas descendu. Les anges sont descendus sur terre et les enfers sont remontés à la conquête de nouveaux mondes. Jamais je ne m’en irais. C’est un monde qui n’aspire pas confiance, les chemins de terre sont couverts de vaisseaux sanguins. Le ciel à revêtus son manteau de nuages oranges, les arbres sont sombres, très noirs. La vie l’est également. Jamais je n’ai vus pareil endroit. Mes quelques secondes de vie me semblent volées, à jamais prisonnier dans ce monde, qui suis-je? Je suis condamné à vivre en enfer alors que je n‘ai encore rien fait! La vie est injuste, elle ne mérite pas d‘être vécue si à la fin, on sait tous ce qui nous attend, à quoi bon faire de notre mieux pour rendre l‘enfer meilleurs si c‘est pour qu‘une fois cela fait nous ne puissions pas en profiter?. Je viens de naître et veux déjà mourir. Il est mort. Et jamais, jamais plus je ne serais qui que j’ai pus être. Les autres ont la chance de partir d’ici. Les plus chanceux ne sont pas ceux qui partent en premier, mais ceux qui ont la chance de partir. Je ne suis pas chanceux donc. Et c’est pourtant sur un ange que je suis tombé.

- Qui suis-je? Où vais-je et pourquoi suis-je en enfer?

Elle est surprise, tout à fait compréhensible. Comme première paroles échangé en tant qu’être j’aurais pus choisir mieux. Ma voix est celle d’un homme. À l’entendre j’ai l’impression de n’avoir jamais vécu. Il y a dans ses paroles une mélancolie dure et brute. Je ne dois pas être quelqu’un de bien. Il à dû enduré toute ces blessures dont je porte les cicatrices. Combien de temps c’est il échangé entre la création de mon être et la disparition de celui que j’étais? Beaucoup probablement.
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Korosu

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L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir Vide
MessageSujet: Re: L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir   L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir EmptyMer 9 Juin - 22:00

Bon voilà le post ! En espérant qu'il te plaise. Il y 'a des passages sanglants / ! \

/!\ Prévention : Ce post pourrait choquer certaines âmes sensibles. /!\

L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir Nodiyf
Atakemaru Korosu


Atake nettoyait arme à la main, cloîtré dans sa chambre. C’était un mercredi comme les autres, il n’y avait jamais rien à faire le mercredi à part glander ; ou peut être que sortir buter quelques contaminés lui ferait du bien. Atakemaru fronça les sourcils un instant : y aller seul ? Bah, il était pas comme ce crétin de Takeshi. Lui au moins il possédait le courage, la fierté, la puissance et la force que son frère n’avait point. Etant le plus jeune, il se devait de faire sans cesse les preuves. Il passa sa main dans ses cheveux rouges et entama la marche physique. Il sortit de sa chambre et dégringola dans les escaliers descendant les étages à une vitesse constante mais rapide. Ce n’est quand pas qu’il poussa un juron. Le jeune homme rouge avait oublié son étui de katana. Il fit volte-face et repartit le chercher… Une fois au point initial, il s’approcha des larges portes du quartier général et les poussa d’un bref coup de main en les faisant un peu grincer. Quelques regards admiratifs se tournèrent vers lui ; des fans. Il aimait beaucoup la popularité, mais il trouvait qu’il y avait des limites, et en ce moment même il n’avait aucune envie de faire une séance d’autographe, si bien qu’il pressa le pas, fermant les portes derrière lui avec précaution et le plus de discrétion possible, chose qui était perdue depuis un moment. La première chose qu’il fit, c’est de lever les yeux vers ce soleil scintillant et haut dans le ciel. Il faisait beau aujourd’hui, il n’y avait presque pas de nuages, c’était un jour idéal pour la chasse. Atake nommait cela ainsi car pour lui c’était de la vraie chasse ; de la course ; du suspens ; de la violence ; la victoire ; le trophée inerte. Il n’avait aucune pitié pour les contaminés, ce qui le démarquait fortement de ses deux autres frères. Bah, l’habitude aussi sans doute ! Il se frotta les cheveux passivement tout en baillant, c’était pas qu’il était en forme qu’il sortait, c’était plutôt par ennui profond. En sortant, il était certain de trouver de quoi jouer pendant une petite après midi. Il commença à marcher sur le petit chemin caillouteux des champs sans vraiment se soucier des présences autour de lui. Des Wrists combattant des contaminés, des contaminés guettant une opportunité unique, des Wrists cachés et blessés. Ah, ils se font tous si mal alors qu’il y a tellement plus simple. Un coup de katana, tête tranchée et tout était réglé enfin ! De plus, valait il mieux ne pas s’épuiser trop vite sous ce soleil tapant, les contaminés profitent de chaque opportunité c’est bien connu ; Atake pour abréger la plupart de ses combats qui se finissaient tous de la même manière pratiquement, le corps tranché si ce n’était pas la tête. C’était vite réglé, et l’effectif de contaminés tués pour le compte d’Atake était phénoménale alors que ses frères pour la plupart du temps, surtout Takeshi, se retenait pour l’un et fuyait pour l’autre. Pathétique. Être un Wrist c’était montrer sa force, sa valeur, sa foi, son espoir ; c’était un devoir à remplir chaque jour. Un devoir que quelque uns oubliés parfois sous la manipulation. Oui, les contaminés étaient loin d’être illettré et bêtes comme leurs pieds, ils sont capable de vous manipuler, de jouer les hypocrites pour finalement vous donner un coup de couteau par derrière. L’astuce était sympathique et fine, mais pas pour Atake. Le jeune homme jouait avec son katana, le faisant tourner sur lui même sur son index, il s’amusait tout en marchant ; il n’avait pas peur, il faillait lui montrer beaucoup de choses pour voir ses traits se transformer en terreur. Oui, il fallait lui en mettre plein la vue, comme un jury lors d’un examen, le tout était de montrer son originalité. C’était le mot clé. Soudain, il entendit un bruit de pas saccadé derrière lui, il se retourna brusquement, prenant son katana subitement en main et l’activa, tout de suite la lame s’échauffa pour en devenir rouge flamboyante tellement elle était chaude. Son katana avait la particularité d’enflammer celui qui toucherait la lame. Très bonne défense et très bonne attaque en même temps. Cela convenait parfaitement à Atake qui était dans le style bourrin et impulsif. Le jeune homme regarda qui lui faisait face, ce n’était qu’un simple Wrist, avec un bras en moins et un contaminé qui lui mordait sauvagement le cou, ne voulant pas le lâcher. Enfin, LA contaminé, car c’était bel et bien une femme. Une femme qui rejoindrait bientôt la mort. Atake s’avança, levant son arme au dessus de sa tête, prêt à assaillir la contaminé d’un coup fatal. Mais contre à toute attente, le Wrist s’interposa et lui expliqua la situation qui devenait de plus en plus compliqué :

    « Et pourquoi je ne devrais pas la tuer ? Pour la simple raison que c’était ta femme ? Absurde, t’es complètement con mon gars ! C’est une contaminé bon sang ! Tu ne dois pas hésiter, enfants, femmes ou hommes : ce sont des bêtes qu’ils faut tuer avant d’en devenir et de finir notre vie dans les égouts de Paris ! Elle te mord déjà sauvagement et tu te laisses faire ? t’es pathétique mec ! Putain, il faut la tuer cette conne, elle est en train de t’achever et tu bouges pas ? T’es con, t’es con !! Je suis sûr que c’est elle qui t’as arraché le bras, vrai ? J’en suis sûr. Mais bon, je vais le faire. Je vais la tuer pour toi en tant que partenaire, mais aussi parce que sa vue m’énerve, son air hagard et son sourire carnassier, je veux l’effacer au plus vite, ne bouge pas… »


Atake abattit son arme. Il avait bougé. Par amour, sentiment stupide pour Atake, il avait protégé sa femme qui recula sous le choc de la lame et du bruit dégueulasse. Par contre, le liquide rouge qui sortit du corps inerte, qui tomba sur le flan, se vidant de tout son contenu, attrait la faim de la contaminé qui se précipita sur les tripes du Wrist qu’il venait de tuer. Les erreurs ça arrivait à tout le monde et Atakemaru était certain que cet idiot regrettait déjà son geste. Se faire tuer pour une contaminé, quelle absurdité, c’était pour lui comme se jeter d’un pont, c’est con. Atake fixa longuement la contaminé, ses muscles contractés, la mâchoire serrée. Il était sur ses gardes, au cas où. Cette vue de cette femme qui se nourrissait des entrailles de son propre mari était écœurant mais Atake se contentait de fixer cette sous-espèce en silence. Un peu en deuil pour son compatriote mais un silence de haine pour cette manipulatrice qui devait se faire un véritable festin. Inamissible. Comment pouvait-on se nourrir de son propre mari ? De celui qu’on aimait le plus au monde ? Comment cette monstruosité pouvait-elle être commise ? Si Dieu existait, Dieu qui avait permis ce virus, qui avait permis tant de guerres, de pleurs et de sangs sans rien jamais faire ; si Dieu existait, pouvait-il encore regarder notre monde droit dans les yeux ? Atake en doutait, même il n’y croyait plus en Dieu. L’espoir de ce monde était scellé pour lui. Ses enfants, ses petits-enfants, ses arrière petits-enfants et ainsi de suite devront vivre avec ça. Ainsi, empli de haine sauvage, il s’approcha lentement de la contaminé pour ne pas la brusquer, étant en train de savourer, entre ses doigts à la fois sales et plein de sang non seulement de son maris mais certainement d’autres victimes, la chair tendre du corps. Elle tenait ses boyaux. Enfin, elle se leva pour essayer de l’attaquer, c’était peine perdue, Atake était bien trop en colère pour jouer ou lui laisser une moindre chance de survie. Il leva une dernière fois son katana déjà imbibé de larmes et de sang, qu’il envoya directement dans la tête de la contaminé, le point fatal. Il abrégeait en quelques sortes de futurs souffrances inutiles, il abrégeait une vie de misère, de tristesse, de solitude, une vie sans avenir. Elle ne bougea plus, son corps se raidit alors que son corps était maintenu par l’arme plantée dans la tête de cette femme inerte. Il retira d’un geste brusque son arme et la contaminé rejoignit la terre et son mari, plongeant dans la grande flaque de sang qui s’était formé, éclaboussant un peu Atake de sang. Quelle poisse !

    « Putain… Ma belle combinaison ! Je l’ai sortie de la machine hier bordel. Tu pouvais pas faire attention en retombant toi ?! Tss… …Bon, continuons cette balade. »


Il se retourna, dos aux cadavres noyés de sang, et continua sa promenade comme si de rien n’était arrivé. Rien ou presque.

15 minutes plus tard.

Atake marchait d’un pas plus énergique que précédemment, cherchant désespérément des contaminé à tuer. Il grognait en colère : quand on ne voulait pas se battre, ils étaient là. Quand on voulait se battre, ils nous fuyaient comme la peste. Incroyable !

    « Eh oh ! Contaminés de mes deux ! Vous êtes où bande d’enfoirés, je vais vous faire la peau moi ! Parole de Atakemaru Korosu !! Montrez vous, ingrats ! Sales rats de gouttières ! Osez vous montrez, assumez ce que vous êtes saloperies ! Si jamais je vous trouve, je ne jouerais pas avec vous, je vous ferez pleurer pour vos massacres, je vous ferez hurler en équivalence pour toute cette souffrance que vous avez fait à tous ces innocents !! »


Oui, Atake était bien déterminé, sauf que son regard se posa sur un jeu blond dont le visage lui était inconnu. Le premier sentiment qui lui vînt fut la méfiance, il s’approcha lentement et discrètement pour guetter sa réaction. Aucune réaction. Il le fixa longuement sans rien dire, le vent soufflait paisiblement s’engouffrant dans ses cheveux les mettant légèrement en bataille. Le soleil se faisait plus chauffant. Et bientôt, voilà l’inconnu qui ouvrit les yeux en murmurant une phrase à peine audible qu’Atake peina à entendre :

    « Qui suis-je? Où vais-je et pourquoi suis-je en enfer? »


Atake pointa son katana sur le bout de son nez en fronçant les sourcils, son numéro de matricule Wrist brillait vivement au soleil. Il était méfiant, et cet homme avait eu peu de chance pour être tomber sur quelqu’un comme Atakemaru. Il pinça les lèvres et maugréa quand même en réponse :

    « J’sais pas qui tu es et j’m’en tape. Si t’es un contaminé mon coco, ta vie s’arrête là. Je me suis taper toute la route, j’ai croisé un de mes compatriote qui a eu comme folie de protéger sa femme transformée en contaminée, non mais quel con ! Je l’ai malencontreusement tuer, c’est bête hein. Cette salope s’est nourrit de ses boyaux devant mon nez ! Non mais quelle provocation ! Je lui est tranché le cerveau alors qu’elle avait peine à se défendre, au moins elle a su qui était le maître, hein. Idiote, c’est bien fait. On devrait me donner que des médailles d’honneurs. » Il bomba un peu le torse, montrant sa fierté de Wrist. « Je ne fais que sauver les gens moi contrairement à ceux qui pioncent. Alors qu’est-ce que tu fous par terre comme un clochard ? T’attends qu’on te zigouille la tête peut être ou c’est une technique d’approche pour m’avoir ? Saches que si c’est le cas t’auras mes deux frères sur le dos. Alors bouge ton cul et lève toi mon grand avant que je me foute sur ta peau. »


Atake le fixa froidement avant d’émettre un grognement d’impatience. Il regarda rapidement autour de lui et se reporta sur le blond toujours à terre, il tapa du pied :

    « Mais grouille toi pauvre con ! Sinon je te laisse crever ici. Les contaminés sont pas loin, intuition. »
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MessageSujet: Re: L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir   L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir EmptyMer 23 Juin - 23:02

L’homme qui m’avait paru femme commença alors à me parler. Son ton était très dur, et une certaine méfiance vis à vis de moi se lisait sur son visage. Le blond bouge rapidement les jambes, attrapant et bloquant la lame du katana entre ses pieds tout en se relvant brusquement afin de le désarmé. Le jeune homme n’y compris pas grand chose à vrai dire… Que vient il de se passer ? Pourquoi suis-je debout ?… Quand me suis je relevé ? Les voix se retirent peu à peu, pour laisser place au vide sidérale qu’est ma tete en ce moment. Je crois que cet homme a un grade spéciale, le code sur sa poitrine m’évoque un lointain souvenir. Le blond déteste les wrist. Ce ne sont que des chiens-chiens pour lui. Des gros vilains chiens. Mathieu les éduque comme ça les vilains chiens, un bon coup dans la machoire et c’est réglé. Mon poing s’est levé et à dessiné un arc de cercle droit devant moi. Je crois qu’il visait la machoire du roux. Il a esquivé magistralement. La tension s’installe. Le wrist me fixe. Se demandant sans doute ce que je fais. Il faut le refrappé, pense le blond. Il faut le frappé, doit penser le rouquin. Je ne sais pas quoi faire, pense l’autre blond. Quand il revient, le vrai blond jauge l’adversaire. Entre son regard et celui du gamin il y a beaucoup d’information qui circule. La taolle de l’adversaire, une estimation de son age, la force qu’il peut déployer… Le vent se lève, une bourasque qui décoiffe les deux hommes. Je fronce les sourcils, JE NE VEUX…

- …PAS ME BATTRE…

- Il n’y a qu’à réfléchir. D’après moi, le rouquin a un peu insulter Mathieu, s’il est encore en vie en ce moment c’est que quelquechose n’est pas normal, soit on a réussi, soit c’est juste une impression. Dirent les yeux scrutateurs

Le poing de Mathieu se lève à nouveau. Le rouquin a prononcé nombre de paroles inutiles, fructueuses et inaudibles. Le blond se lance dans une série de coups. Chacun d’eux vise la tete. C’est une de ses techniques, mettre en confiance l’adversaire, faire croire que seul la tete est visée, et mettre l’uppercut qu’il faut, en plein dans l’estomac.
On a bougé de cinq metres… Et visiblement j’essaie de lui mettre des coups. Il ne doit pas etre sympa comme mec. Le dernier coup que j’ai visiblement voulu lui mettre n’abouti pas, d’une j’ai ralenti sa course folle, et le mec en face l’a intercepté juste avant de toucher son foi. Maintenant qu’est ce qui va m’arriver? Je ferme les yeux, attendant patiement qu’il lève le poing et abrège ce silence…

( Alors... C'est à chier, plein de fautes, et court U.U J'ai une flemme monstre pour me relire, attends pas de réponse avant un moment, je peux pas supporter cette version à chier de microsoft word...)
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Korosu

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MessageSujet: Re: L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir   L’histoire d’un veau qu’on mènent à l’abattoir EmptyMer 23 Juin - 23:42

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