Cette histoire est l’histoire d’un homme qui rencontre une femme. Ils ne se connaissent pas, mais ils sont liés, L’un croit très fortement au destin et à l’amour tandis que l’autre ne croit plus du tout là dedans depuis le divorce de ses parents. Elle, son nom c’est Summer, Summer Finn. Son poids est moyen, sa taille est dans la moyenne, la taille de ses pieds sont un tout petit peu au dessus. Ce qu’elle aime, Humm… Se balader dans la nature, les comédies dramatiques, la solitude et d’autres choses encore. En faites, c’est une fille comme les autres. Elle ne croit pas en l’amour. Ces parents étaient jeunes quand ils ses sont connus. Trop jeunes… Trop irresponsables. Elle est venue au monde un beau jour de mai. Ce qu’elle pense ce qu’elle n’aurait pas dû naitre de ces parents. Ils ne se supportés déjà pas énormément, et quand Summer entra dans leurs vies respectives, ce fût la goutte d’eau qui fit déborder le vase… Les disputes empirèrent, ils purent se supporter mutuellement pendant huit ans après l’arrivée de Summer et un jour, ils partirent chacun de leur coté. Faisant ainsi valsé tout les espoirs de fin heureuse et de prince charmant que pouvait posséder une jeune fille de son âge. Elle est devenue une femme. Aujourd’hui elle à vingt-six ans. Lui, il s’appel Tom, Tom Hanson. Ses fondements pur et dure sur l’amour proviennent d’une vision mal interprété d’un film sur ce sujet qu’il a vu étant assez jeune. Il est jeune, ces parents sont Monsieur et Madame Tout-le-monde. Ils vivent leurs vies en s’aimant. C’est inspiré de cet exemple que Tom Hanson veut concevoir sa vie, d’après lui, elle ne commencera que quand il aura rencontré ce qu’il appel le «　Grand Amour　». Il vit sa vie tout les jours. Il a maintenant vingt-sept ans. C’est un garçon comme les autres. Sa vie d’avant nous importe peu en faites…
C’est l’histoire d’un gars qui rencontre une fille… Et ça finit mal…
Un jour de plus s’est il mit à penser depuis maintenant cinq ans. Tom Hanson se lève. L’affichage à cristaux liquides du radioréveil indique qu’il est sept passé de cinq minutes. Il sera peut être un peu en retard. Il enfile le jean qu’il avait la veille et va dans la cuisine. Là il se fait un café pendant qu’il va prendre sa douche. Un jour de plus pense-t-il. Il n’a aucune de connaissance en amour, sa vie ne fut jonchée que de pavé qui en cachait un autre encore. Il surfait de déception amoureuse en déception amoureuse. Il sort de la douche. Il ne pense plus à rien. Le jeune homme marche en direction de la cuisine. Il allume le poste de radio sur le comptoir et se verse un café en écoutant les nouvelles du jour. Il n’écoute qu’à moitié en réalité, il n’est pas vraiment réveillé. Il enfile ses chaussures, prends toutes ses affaires, ferme la porte à clefs et descend les marches deux à deux. Dans son appartement du quatrième étage, la radio tourne encore, et le panneau de cristaux liquide affiche sept heures cinquante quatre. Il a raté son bus…
C’est un nouveau matin qui commence. Une matinée comme les autres. Il court, le bus s’arrête finalement au bout de deux cent mètres. Il monte, paie et doit rester debout. Allumant son lecteur MP3, il remarque que dans une minute il sera huit heures. Dans sa tête il fait le calcul, il lui faut dix minutes pour faire un voyage normal de chez lui au poste, il sera légèrement en retard, mais ça va les mecs sont cool là bas. Enfin il arrive. Le poste de police, bientôt six ans qu’il y travail. C’était son propre choix. Il regrette un peu, la vie trépidante qu’il rêvait d’avoir ne s’est pas réalisée. Abusé et perverti par une télévision toujours plus additive, il espérait, en venant ici, trouvait la vie trépidante et pleine d’action qu’il a toujours voulue. Ce qu’il a trouvé, ce n’est en faites qu’une montagne de paperasserie administrative, puis des arrestations pour des délits mineures et sans importance. Le coup du siècle en police n’existe pas. Il pousse la porte et est accueilli par Marcus, un collègue. Ce dernier lui rapporte qu’il est en retard une fois de plus, mais il laisse passer, une fois de plus… La première chose qu’il fait, c’est d’aller derrière son bureau et de sortir ses affaires. Son gilet noir et bleu, sa plaque, sa ceinture et ses chaussures. Il enfile le tout. Il passe à l’armurerie prendre son arme et regarde le tableau. Le tableau… Ici, tout le monde est au même niveau. Peu importe le grade en faites. Le tableau et là pour rappeler les choses quotidiennes à faire. D’habitude il doit sortir avec le radar mobile mais pas aujourd’hui. C’est mercredi, ce jour là, un autre poste se charge des contrôles. C’est le jour où il s’ennui le plus en faites. Il ne fait rien… Il tourne en rond, s’ennuie jusqu’à la pause. Quand vient l’heure de manger, il retrouve ses potes de collège. Il y a Peter et Paul. Ils boivent tout trois une bière en discutant plus ou moins puis repartent chacun dans leur direction. L’après midi se passe de la même façon que le matin. Il s’ennui comme un rat mort… Arrivé dix neuf heure, il repart vers l’arrêt de bus et rentre chez lui. Il passe la clé dans la serrure, tourne cette dernière, rentre, éteint la radio restée allumée, allume la télé, se déchausse et sort à manger de son congélateur. Il la laisse se réchauffer un peu, puis au bout d’une demi heure il revient, découpe l’emballage, met ce qui doit être à manger dans une assiette qui est elle-même mit au micro-onde. Il s’installe, sort des couverts, prend un verre se sert un verre d’eau, et en boit une gorgé. Il règle thermostat et le temps de cuisson puis va se réinstaller dans son canapé. Au bout de dix minutes le micro-onde sonne et Tom prend l’assiette encore chaude pour commencer à manger. A vingt-deux heures il est dans son lit et attend le sommeil… Ainsi, se dit-il, sa journée a été bien rempli. Une journée n’a pas vraiment d’importance sur le cours d’une vie. Tom Hanson ne fait pas exception à la règle. Il n’imaginait pas sa vie ainsi… Métro, boulot, dodo… Un jour de plus pense-t-il, un jour de plus…

Nous sommes aujourd’hui mercredi. La courte vie qu’a Tom Hanson s’est prolongée d’encore une semaine. Sept heure cinq. Enfile un jean, allume la cafetière, prend une douche, s’habille, boit son café, enfile ses chaussures et pars travailler. Aujourd’hui sera un jour ensoleillé, j’en parierais ma chemise avait dit le présentateur à la radio qu’il avait encore oublié d’éteindre. Il s’était trompé. Aujourd’hui, comme à l’accoutumé, le ciel était gris et l’air maussade. Il marche. Il sait qu’aujourd’hui encore, il a raté son bus… Peu importe, ce n’est qu’un jour de plus. Demain il n’y pensera déjà plus. Il arrive près de l’arrêt. Le bus est là et personne n’est à l’extérieur en train d’y monter. Il se hâte. Tom monte les quatre marches et paie le conducteur. C’est le même noir que la semaine précédente et il vient lui parler.

- En cinq ans, je crois que c’est bien la première fois que vous arrivez à l’heure…

Tom est étonné, ces trajets d’aller et de retour, et même sa journée carrément est habituellement si silencieuse… Le chauffeur l’a bien remarqué :

- Non, je plaisante, c’est moi qui vous ai attendu cette fois… Aujourd’hui est un jour ensoleillé, pourquoi ne pas vous faire une fleure?

Il lui affiche un petit sourire en lui rendant la monnaie. Tom part comme à son habitude au fond du bus. Aujourd’hui est un jour ensoleillé lui a affirmé le conducteur. Ce bouleversement a fait perdre tout les repères de Tom. La journée ne fait que commencer… déjà un second fait nouveau vient bouleverser ce jour. Il trouve une place libre où il s’empresse de s’asseoir. Lui qui reste d’habitude toujours debout…
Il arrive au poste. Marcus l’accueil comme à son habitude. Tom va s’asseoir derrière son bureau et se prépare, gilet, chaussures plaque… Il passe à l’armurerie et va ensuite regarder le tableau. Un nouvel élément, il devra aujourd’hui faire des contrôles… C’est encore un fait inhabituel. Marcus Arrive par-dessus son épaule.

- Tien, t’as des contrôles aujourd’hui? T’as de la chance, aujourd’hui est un jour ensoleillé. On se croirait presque en été!

Tom repars s’asseoir, ne s’apercevant nullement que c’est la troisième fois qu’on lui dit que la journée sera ensoleillée. Il sort donc, prend une voiture et s’en va. Il a son permis, mais n’a pas de quoi s’acheter une voiture… Il fait un bout de route et se gare près d’un péage. C’est ça pour lui les contrôles du mercredi. C’est une chose rare… Mais ça arrive. Il ne remarque nullement qu’il n’est pas le seul policier ici. Il va parler à la guichetière pour se renseigner sur les horaires de passage de la plupart des véhicules suspects. Quand il entre dans l’office, la guichetière est là et parle à une autre femme que Tom remarque à peine. Il attend simplement son tour dans son coin.

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